Californie 2008
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La ruée vers l'or
Départ de South San Francisco
> Bonne surprise, du soleil dès le lever. On range les bagages et au moment de partir, nous fermons la porte de la salle de bain et ne réussirons plus à l'ouvrir.
Heureusement tout est déjà dans les bagages. Nouveau petit détail à régler :
où se trouve l'agence de location de voiture ? Nous demandons à l'accueil de l'hôtel.
Nous portons chercher l'agence avec nos gros bagages.
Après quelques minutes nous y arrivons. Une belle Golf nous attend, avec boîte automatique. Quelques minutes pour comprendre comment ouvrir le coffre puis pour s'habituer à la boîte auto (aie le frein)... et le road trip commence : en voiture !
où se trouve l'agence de location de voiture ? Nous demandons à l'accueil de l'hôtel.
Nous portons chercher l'agence avec nos gros bagages.
Après quelques minutes nous y arrivons. Une belle Golf nous attend, avec boîte automatique. Quelques minutes pour comprendre comment ouvrir le coffre puis pour s'habituer à la boîte auto (aie le frein)... et le road trip commence : en voiture !
Le Gold Country
> Rien à signaler concernant la traversée de SF via la highway. Mais à la sortie Est de la ville, les difficultés apparaissent déjà : à droite ou à gauche ? Evidement on ne fait pas le bon choix et on se retrouve à payer un pont pour aller au nord de SF... pas du tout la bonne route.
On récupère notre route après quelques miles.
Le paysage urbain s'est effacé au profit d'un grand marécage, un peu désolé. Les °F monte de plus en plus au thermomètre. Il commence à faire vraiment chaud dans la voiture. La climatisation ne sera donc pas un luxe. Le paysage jauni de plus en plus. Il s'agit en fait de champs d'herbes grillées par le soleil. Des rochers et quelques arbres morts agrémentant le tout et viennent parfaire ce paysage. Les sapins et forêts se font de plus en plus présents au fur et à mesure que nous approchons de Grass Valley. Peu de maisons directement en bord de la route principal dans ces forêts de sapin,
mais des chemins plus ou moins carrossables partent de chaque côté de la route permettant de rejoindre des maisons perdues sont les arbres. Les boîtes aux lettres sont de bons indicateurs de la densité de population tout au long de la route (assez faible) en formant des petites rangées sur le bord de la route (comme dans les films).
> En chemin, nous trouvons un musée sur l'histoire de la « Empire mine ». En avant pour la visite. Nous pic-niquons à côté de la mine, en pleine forêt. Et voilà le plus gros sandwich jamais vu : dinde, tomate, salade, mayonnaise (environ 1 kg pour 5 $). Nous entrons dans le musée où l'on apprend les différents mécanismes d'extraction de l'or et l'organisation.
Il y a pas mal de similitudes avec nos mines de charbons concernant les techniques de forages, consolidation et transport.
Puis nous nous rendons sur le site, où les bâtiments servant aux bureaux, réparations, machines et la mine sont conservés. Pas de touristes au moment de notre visite, cela fait un peu ville fantôme avec un soleil de plomb et aucun bruit à part celui de nos pas foulant le sol et le vent qui fat grincer les bâtiments.
On récupère notre route après quelques miles.
Le paysage urbain s'est effacé au profit d'un grand marécage, un peu désolé. Les °F monte de plus en plus au thermomètre. Il commence à faire vraiment chaud dans la voiture. La climatisation ne sera donc pas un luxe. Le paysage jauni de plus en plus. Il s'agit en fait de champs d'herbes grillées par le soleil. Des rochers et quelques arbres morts agrémentant le tout et viennent parfaire ce paysage. Les sapins et forêts se font de plus en plus présents au fur et à mesure que nous approchons de Grass Valley. Peu de maisons directement en bord de la route principal dans ces forêts de sapin,
mais des chemins plus ou moins carrossables partent de chaque côté de la route permettant de rejoindre des maisons perdues sont les arbres. Les boîtes aux lettres sont de bons indicateurs de la densité de population tout au long de la route (assez faible) en formant des petites rangées sur le bord de la route (comme dans les films).
> En chemin, nous trouvons un musée sur l'histoire de la « Empire mine ». En avant pour la visite. Nous pic-niquons à côté de la mine, en pleine forêt. Et voilà le plus gros sandwich jamais vu : dinde, tomate, salade, mayonnaise (environ 1 kg pour 5 $). Nous entrons dans le musée où l'on apprend les différents mécanismes d'extraction de l'or et l'organisation.
Il y a pas mal de similitudes avec nos mines de charbons concernant les techniques de forages, consolidation et transport.
Puis nous nous rendons sur le site, où les bâtiments servant aux bureaux, réparations, machines et la mine sont conservés. Pas de touristes au moment de notre visite, cela fait un peu ville fantôme avec un soleil de plomb et aucun bruit à part celui de nos pas foulant le sol et le vent qui fat grincer les bâtiments.
Nevada City
> Direction “Nevada City” et “Grass Valley”.
Les maisons sont très typiques : en bois, avec des petites barrières blanches autour du jardin et un fauteuil sous le préau.
Des petits vieux regardent les gens passer. Dans le centre-ville, des panneaux indiquent tous les magasins. Il y a des balcons et surtout des églises partout. Nous demandons à une agence immobilière où se trouve la rivière qui est censée passer à côté de la ville. Nous empruntons une route semblable à celle dans les gorges de l'Ardèche.
Arrivée à un pont, on descend à pied le long de gros rochers (assez casse gueule). L'eau est assez fraiche, mais translucide. Dans le sable du fond, certains grains sont dorés et font passer à des paillettes d'or. Le coucher de soleil, ainsi que les immenses rochers qui jonchent le cours de la rivière, font de ce petit coin de nature, un décor parfait. On se croirait dans Into the Wild (En faisant abstraction du pont...).
> Il se fait tard, nous repartons direction Auburn, où nous attend le motel. Une fois arrivée, difficile de trouver. Je ne suis pas sur des indications de Faustine, je demande donc à des autochtones, qui m'indiquent le même chemin... La fatigue à encore raison de nous, il n'y aura pas de sortie ce soir. (en même temps Auburn ce n'est pas non plus extraordinaire comme ville...).
Les maisons sont très typiques : en bois, avec des petites barrières blanches autour du jardin et un fauteuil sous le préau.
Des petits vieux regardent les gens passer. Dans le centre-ville, des panneaux indiquent tous les magasins. Il y a des balcons et surtout des églises partout. Nous demandons à une agence immobilière où se trouve la rivière qui est censée passer à côté de la ville. Nous empruntons une route semblable à celle dans les gorges de l'Ardèche.
Arrivée à un pont, on descend à pied le long de gros rochers (assez casse gueule). L'eau est assez fraiche, mais translucide. Dans le sable du fond, certains grains sont dorés et font passer à des paillettes d'or. Le coucher de soleil, ainsi que les immenses rochers qui jonchent le cours de la rivière, font de ce petit coin de nature, un décor parfait. On se croirait dans Into the Wild (En faisant abstraction du pont...).
> Il se fait tard, nous repartons direction Auburn, où nous attend le motel. Une fois arrivée, difficile de trouver. Je ne suis pas sur des indications de Faustine, je demande donc à des autochtones, qui m'indiquent le même chemin... La fatigue à encore raison de nous, il n'y aura pas de sortie ce soir. (en même temps Auburn ce n'est pas non plus extraordinaire comme ville...).
