Californie 2008
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Las Vegas
Les manèges de la Stratosphère Tower
> Réveil vers 8 h. Comme l’accès au haut de la tour est compris dans le prix de la chambre (pas le soir), nous allons monter à la tour pour regarder la ville du haut.
Et pour Faustine ce sera attractions à presque 300 mètres …. On rendra les clés de la chambre après en « fast drop » (très pratique pour éviter les files d’attentes).
Nous attendons un peu, car les ascenseurs n’ouvrent qu’à 10 h. Faustine achète des billets pour 2 attractions (le big shot et le Insanity) en attendant. Le big shot est la tour située tout en haut de la Stratosphère Tower qui vous éjecte à 60 m.
l’Insanity est celui qui a un bras qui vous font tourner au-dessus du vide.
> La sécurité est renforcée pour la tour, avec un contrôle des sacs et détecteur de métaux… alors que dans le casino, même pas un contrôle sur les sacs et pourtant il y a du monde !
Les ascenseurs montent l’équivalent des quelques 100 étages de la tour en un rien de temps, avant de nous retrouver face un panorama assez impressionnant.
Pas vraiment beau, mais donnant un point de vue différent sur le Strip et surtout permettant de voir qu’il s’agit bien d’une ville au milieu d’un désert, mais qu’il ne s’agit pas d’un désert plat.
> Faustine montera tout en haut de la tour pour faire les manèges et avec son niveau d’anglais ne comprendras pas grand-chose aux instructions de sécurité qui lui sont données.
Ayant l’habitude des manèges, elle connaît déjà les précautions donc ce ne sera pas un soucis. L’attente avant le départ du manège est un peu longue, car nous étions les premiers visiteurs à monter et il faut un minimum de personnes pour lancer l’attraction.
« Sensation énorme au moment de la 1ére descente, souffle coupé comme jamais dans une attraction de ce type ! ». C’est sa réaction après avoir pris plus de 4G à 60 mètres au-dessus de la tour, soit 1081 pieds au-dessus du sol.
On se croise pendant qu’elle se rend à la deuxième attraction. Le bras qui vous fait tourner pour atteindre 3G au-dessus du vide à 20 mètres du bord de la tour ! « Trop bien, la stratosphère que l’on voit en entier si on se penche un peu et la vue sur la ville ».
Nous redescendons, récupérons les bagages et quittons l’hôtel.
> On trouvera même une salle de machines à sous qui fonctionnent encore avec des pièces. Les mamies qui jouent ont vraiment la technique pour glisser les pièces en masse dans la fente.
Nous on prend du temps pour jouer, mais le plaisir est là quand on voit (et surtout entend) les pièces tomber quand on gagne.
Pour nous qui ne sommes pas des habitués des casinos, nous pensions que les machines fonctionnaient à pièces, il n’en est rien, dans 99 % des cas on met un billet qui donne un crédit et à la fin on récupère un coupon, que l’on échange contre du cash au guichet ou dans des bornes automatiques.
Après un petit lunch dans un casino de Freemont, nous repartons sur le Strip pour notre prochain hôtel, le Tropicana.
> Il fait chaud et l’on veut y arriver tôt pour profiter un peu de la piscine. C’est un peu le bordel pour conduire sur le Strip mais on s’en sort (je n’ose pas imaginer le soir, vu la densité du trafic).
Après une recherche laborieuse du parking, on arrive enfin. L’hôtesse est d’une amabilité à faire peur, tout juste si ça ne la fait pas chier de nous parler. En plus ils font payer un extra de 7-8$ non indiqué dans le prix en réservant sur internet pour les charges (eau, électricité, piscine, utilisation du téléphone (qui sera facturé en plus si on l’utilise)).
Les ascenseurs vitrés donnant sur la piscine et les autres casinos permettent d’avoir une belle vue de jour comme de nuit.
> La chambre est terrible, parfaitement dans l’ambiance, avec du bambou partout, un lit king size, et plus surprenant : des miroirs partout autour du lit, derrière, devant, sur le mur du coté et… au plafond !
En maillot et direction la piscine. Elle est assez grande et tarabiscotée, avec des sortes de lagons et surtout des cascades qui viennent tomber à plusieurs endroits. Il y a beaucoup de transats autour, avec des serviettes que l’on demande à la petite cabane : on se croirait un peu à la plage.
Dommage qu’il ne reste qu’une petite partie de la piscine au soleil. Une zone est réservée aux adules uniquement dans un coin tranquille. Et un bar avec des tables de Black Jack sont installées à l’ombre mais toujours dans la piscine. Il est 18 h et il fait chaud.
> On va jouer un peu dans le Tropicana pour en faire le tour avant de retourner nous balader dans les autres casinos. Faustine double 5 $ en quelques minutes sur des machines de poker.
Nous revoyons de plus près le New York-New York aperçu la veille ainsi que le Paris. Nous rentrons dans l’Excalibur, grand château fort, très spacieux. Puis ce sera le Luxor, qui est imposant de l’extérieur avec la pyramide et les statues, mais qui est un peu trop sobre et sombre à l’intérieur.
Cela dit, il est très chic. Enfin ce sera un petit tour au Mandela Bay, qui a ses façades dorées et fait penser à un gros lingot d’or. On se perdra agréablement quelques minutes dans les jardins de l’hôtel sans croiser personne.
Il y a un aquarium avec des requins, mais il n’est pas ouvert le soir.
> À l’Excalibur, une fille en sous-vêtements se trémousse un peu sur un podium au milieu de 6 ou 8 tables de Black Jack.
Nous cherchons un endroit ou manger, mais on va éviter les fast-foods ainsi que les restaurants trop chics qui nous font un peu peur (les prix ne sont soit pas indiqués, soit hors de prix). On trouvera un bon restaurant, buffet à volonté pour 15 $ par personne.
Il y a énormément de choix, entrées, plats, desserts et boissons. On est assez fatigués, donc la sortie en boîte ne nous attire plus trop. On finira notre soirée dans les casinos à jouer (perdre) quelques dollars. Un petit bain dans l’immense baignoire de la chambre et au lit.
> La sécurité est renforcée pour la tour, avec un contrôle des sacs et détecteur de métaux… alors que dans le casino, même pas un contrôle sur les sacs et pourtant il y a du monde !
Les ascenseurs montent l’équivalent des quelques 100 étages de la tour en un rien de temps, avant de nous retrouver face un panorama assez impressionnant.
Pas vraiment beau, mais donnant un point de vue différent sur le Strip et surtout permettant de voir qu’il s’agit bien d’une ville au milieu d’un désert, mais qu’il ne s’agit pas d’un désert plat.
> Faustine montera tout en haut de la tour pour faire les manèges et avec son niveau d’anglais ne comprendras pas grand-chose aux instructions de sécurité qui lui sont données.
Ayant l’habitude des manèges, elle connaît déjà les précautions donc ce ne sera pas un soucis. L’attente avant le départ du manège est un peu longue, car nous étions les premiers visiteurs à monter et il faut un minimum de personnes pour lancer l’attraction.
« Sensation énorme au moment de la 1ére descente, souffle coupé comme jamais dans une attraction de ce type ! ». C’est sa réaction après avoir pris plus de 4G à 60 mètres au-dessus de la tour, soit 1081 pieds au-dessus du sol.
On se croise pendant qu’elle se rend à la deuxième attraction. Le bras qui vous fait tourner pour atteindre 3G au-dessus du vide à 20 mètres du bord de la tour ! « Trop bien, la stratosphère que l’on voit en entier si on se penche un peu et la vue sur la ville ».
Nous redescendons, récupérons les bagages et quittons l’hôtel.
Freemont Street
> Comme on ne peut pas arriver si tôt dans l’autre hôtel et que l’on veut visiter le centre avec Freemont Street, on laisse les affaires dans la voiture. Les places de parking ne manquent pas et en plus comme c’est dimanche, tout est gratuit. La rue n’est pas illuminée en journée, mais comme ce soir, on prévoit de continuer de se balader sur le Strip, on ne pourra pas venir. L’ambiance est assez sympathique et ça change beaucoup du gigantisme des hôtels. Les casinos sont plus petits, plus bas de plafond, mais agréables (à part la serveuse qui passe toutes les 5 minutes pour s’assurer que l’on a tout ce qu’il faut à boire).
> On trouvera même une salle de machines à sous qui fonctionnent encore avec des pièces. Les mamies qui jouent ont vraiment la technique pour glisser les pièces en masse dans la fente.
Nous on prend du temps pour jouer, mais le plaisir est là quand on voit (et surtout entend) les pièces tomber quand on gagne.
Pour nous qui ne sommes pas des habitués des casinos, nous pensions que les machines fonctionnaient à pièces, il n’en est rien, dans 99 % des cas on met un billet qui donne un crédit et à la fin on récupère un coupon, que l’on échange contre du cash au guichet ou dans des bornes automatiques.
Après un petit lunch dans un casino de Freemont, nous repartons sur le Strip pour notre prochain hôtel, le Tropicana.
Le Tropicana
> Il fait chaud et l’on veut y arriver tôt pour profiter un peu de la piscine. C’est un peu le bordel pour conduire sur le Strip mais on s’en sort (je n’ose pas imaginer le soir, vu la densité du trafic).
Après une recherche laborieuse du parking, on arrive enfin. L’hôtesse est d’une amabilité à faire peur, tout juste si ça ne la fait pas chier de nous parler. En plus ils font payer un extra de 7-8$ non indiqué dans le prix en réservant sur internet pour les charges (eau, électricité, piscine, utilisation du téléphone (qui sera facturé en plus si on l’utilise)).
Les ascenseurs vitrés donnant sur la piscine et les autres casinos permettent d’avoir une belle vue de jour comme de nuit.
> La chambre est terrible, parfaitement dans l’ambiance, avec du bambou partout, un lit king size, et plus surprenant : des miroirs partout autour du lit, derrière, devant, sur le mur du coté et… au plafond !
En maillot et direction la piscine. Elle est assez grande et tarabiscotée, avec des sortes de lagons et surtout des cascades qui viennent tomber à plusieurs endroits. Il y a beaucoup de transats autour, avec des serviettes que l’on demande à la petite cabane : on se croirait un peu à la plage.
Dommage qu’il ne reste qu’une petite partie de la piscine au soleil. Une zone est réservée aux adules uniquement dans un coin tranquille. Et un bar avec des tables de Black Jack sont installées à l’ombre mais toujours dans la piscine. Il est 18 h et il fait chaud.
2ème soirée à Las Vegas
> On va jouer un peu dans le Tropicana pour en faire le tour avant de retourner nous balader dans les autres casinos. Faustine double 5 $ en quelques minutes sur des machines de poker.
Nous revoyons de plus près le New York-New York aperçu la veille ainsi que le Paris. Nous rentrons dans l’Excalibur, grand château fort, très spacieux. Puis ce sera le Luxor, qui est imposant de l’extérieur avec la pyramide et les statues, mais qui est un peu trop sobre et sombre à l’intérieur.
Cela dit, il est très chic. Enfin ce sera un petit tour au Mandela Bay, qui a ses façades dorées et fait penser à un gros lingot d’or. On se perdra agréablement quelques minutes dans les jardins de l’hôtel sans croiser personne.
Il y a un aquarium avec des requins, mais il n’est pas ouvert le soir.
> À l’Excalibur, une fille en sous-vêtements se trémousse un peu sur un podium au milieu de 6 ou 8 tables de Black Jack.
Nous cherchons un endroit ou manger, mais on va éviter les fast-foods ainsi que les restaurants trop chics qui nous font un peu peur (les prix ne sont soit pas indiqués, soit hors de prix). On trouvera un bon restaurant, buffet à volonté pour 15 $ par personne.
Il y a énormément de choix, entrées, plats, desserts et boissons. On est assez fatigués, donc la sortie en boîte ne nous attire plus trop. On finira notre soirée dans les casinos à jouer (perdre) quelques dollars. Un petit bain dans l’immense baignoire de la chambre et au lit.
